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Musique
The end of comedy
Edité par Domino recording ; [distrib. Sony music entertainment] - paru en P 2016
The End Of Comedy est le premier album de Drugdealer, le nouveau projet de l'artiste Michaël Collins originaire de Los Angeles ayant déjà fait ses preuves avec Run Dmt et Salvia Plath : Drugdealer invite sur son album plusieurs collaborateurs comme Ariel Pink ou Natalie Mejing (Weyes Blood) et nous plonge dans un monde fantaisiste inspiré des théories postmodernes du philosophe Jean Baudrillard, des panoramas des western spaghettis de Sergio Leone et de ses voyages incessants. The End Of Comedy est une collection acide et éclairée où Michaël Collins explore habilement les ballades piano de Carole King, les arrangements de Bacharach, la folk psyché d'Ultimate Spinach et Hendrickson Road House et même le jazz souterrain de New York. Dans son album, Drugdealer privilégie l'ensemble des morceaux et convie Ariel Pink sur "Easy To Forget", Danny James sur "My Life" et Natalie Mering (Weyes Blood) sur "Suddenly" et le titre éponyme, sans oublier quelques uns de ses amis proches et membres de Regal Degal, Holy Shit!, Mild Hugh Club, Mr. Twin Sister et le groupe de Mac DeMarco. Ces collaborations sont les fondations de cet album, les titres s'enchaînent comme un récit de voyage dans lequel Michaël Collins irait ça et là à la rencontre d'amis de longues dates ou de nouvelles connaissances nous entraînant avec lui dans son périple et nous envoûtant par la même occasion.
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Coup de coeur
Un coup de cœur pour cette pop « psyché » acidulée et délicate, un brin fantaisiste. On déguste l’ensemble en douceur tout en effectuant un petit retour vers les sixties… Drugdealer invite pour cet album plusieurs collaborateurs comme Ariel Pink ou encore Natalie Mejing ( Weyes Blood).
PatHBerr - Le 30 décembre 2016 à 15:03