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J'ai couru vers le Nil

Aswany, Alaa el- (1957-....). Auteur - Gauthier, Gilles (1944-....). Traducteur

Edité par Actes Sud. Arles (Bouches-du-Rhône) ; Orient des livres (L'). Beyrouth - paru en 2018

Au Caire en 2011, les destins des militants Asma et Mazen, des étudiants Khaled et Dania, d'Achraf l'acteur raté et de sa domestique Akram, du communiste désabusé Issam et de sa femme Nourhane, présentatrice de télévision ambitieuse. Liés les uns aux autres, chacun vit la révolution égyptienne à sa façon, entre dissidence, fidélité au régime, actes de lâcheté et engagements héroïques. ©Electre 2022

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Avis

vos avis

  • Excellent 5/5

    Un excellent roman ! L'auteur nous fait vivre le printemps de 2011 en Égypte. Edifiant, captivant. À lire !!

    Charlotte ARAGNOUET - Le 18 octobre 2019 à 23:01
  • 5/5

    Hermann NYABANGANG JOKE TIMBA - Le 25 janvier 2019 à 21:23
  • Roman d'espoir et... de désespoir. 5/5

    Immense espoir né de ce soulèvement de la jeunesse qui a chassé Moubarak. Mais désespoir de ce qui est venu après. Alors tout ça pour ça ? Pour rien ? Pour peut-être pire qu'avant ? Non : ce livre est un récit de la conquête de la dignité.

    Ariane PEREZ-MICHALOUX - Le 08 janvier 2019 à 23:21
  • Avec les insurgés de la place Tahrir au coeur de la révolution égyptienne 5/5

    Une fresque terrifiante de la société égyptienne pour mieux comprendre la révolution de 2011 et comment elle a été confisquée par les conservateurs de tous bords. On y découvre également, le poids de la religion omni-présente et comment la charia permet à un militaire assassin d'échapper à tout jugement. Lecture captivante et très facile en dépit des nombreux personnages facilement identifiables qui interviennent régulièrement au cours du roman. Le titre vient d'un passage aux deux tiers du livre : "J'ai couru vers le Nil. Les grenades lacrymogènes remplissaient l'atmosphère et moi je pleurais, je ne sais pas si c'était à cause des gaz ou à cause du jeune qui était mort (écrasé par un tank) (...) j'ai vu un grand nombre de morceaux humains (...) et j'ai vu des gens terrorisés et qui marchaient dessus (...) la seule chose qui compte c'est de s'en sortir..."

    Dominique MORO - Le 07 janvier 2019 à 07:51