Livre


100000 morts oubliés : les 47 jours et 47 nuits de la bataille de France : 10 mai-25 juin 1940


Jean-Pierre Richardot. Auteur

Edité par le Cherche midi - paru en DL 2009


Un témoignage inédit sur la bataille de France, soit 47 jours et 47 nuits de combats acharnés et souvent désespérés, de la poche de Sedan à Dunkerque, où les troupes françaises ont poussé l'héroïsme jusqu'au sacrifice. 100.000 morts qui viennent contredire la légende selon laquelle l'armée française ne se serait pas battue.

Collection Documents (Cherche Midi)



Vérification des exemplaires disponibles ...

Se procurer le document

Vérification des exemplaires disponibles ...

Suggestions

Du même auteur

Papa Bréchard, vigneron du Beaujolais | Jean-Pierre Richardot. Auteur
Livre

Papa Bréchard, vigneron du Beaujolais

Jean-Pierre Richardot. Auteur - Stock - 1977

La Vie des hommes.

Arméniens : quoi qu'il en coûte | Jean-Pierre Richardot. Auteur
Livre

Arméniens : quoi qu'il en coûte

Jean-Pierre Richardot. Auteur - Fayard - 1982

Contient un choix de témoignages.

Une autre Suisse : 1940-1944 | Jean-Pierre Richardot
Livre

Une autre Suisse : 1940-1944

Jean-Pierre Richardot - Ed. du Félin - 2002

Questions d'époque

SNCF : héros et salauds pendant l'Occupation | Jean-Pierre Richardot. Auteur
Livre

SNCF : héros et salauds pendant l'Occupation

Jean-Pierre Richardot. Auteur - Cherche midi - DL 2012

Documents (Cherche Midi)

Entre une organisation collaborationniste, un dirigeant qui dénonce, spolie, ordonne le pi...

Chargement des enrichissements...

Avis

vos avis

  • 100 000 morts oubliés La Bataille de France 10 mai-25 juin 1940 5/5

    Que l’État se soit effondré en 1940, l'auteur ne le conteste évidemment pas. Le lieu commun auquel il s'attaque est celui du manque de combativité des soldats, dont 100 000 environ sont morts en un peu plus d'un mois, mal équipés, mal commandés surtout par des chefs hostiles à la République; ces derniers, obsédés par la menace d'une révolution communiste, qui justifiait à leurs yeux l'accommodement le plus rapide possible avec l'Allemagne nazie, quel qu'en fût le prix à payer, n'avaient jamais accepté la forme démocratique du régime. S'appuyant sur de nombreuses sources, y compris anglo-saxonnes, l'auteur montre que les troupes françaises, par leur sacrifice, ont permis à l'armée britannique de rembarquer à Dunkerque et de reconstituer ses forces plus tard. Sans chercher à effacer les erreurs commises de part et d'autre, à nier le fossé d'incompréhension entre la France et ses alliés, il cherche à rendre justice aux soldats qui ont tenu bon dans des conditions désespérées.

    Jean Le Grenot - Le 26 décembre 2017 à 18:25