Stendhal tomba amoureux de l’Italie (et des Italiennes) à son premier voyage. C’est l’Italie qui changea Henry Beyle en Stendhal. Il y retourna souvent: comme militaire, comme touriste, comme consul. Toujours avec la même ferveur et ce regard aux antipodes de la tradition humaniste du voyage italien. La vivacité, le goût de vivre, la sensualité stendhalienne remplissent ces journaux d’Italie, celle de son éternel retour.