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En finir avec Eddy Bellegueule
En finir avec Eddy Bellegueule
Edité par Seuil. Paris - paru en 2014
Elevé dans une famille ouvrière pauvre de Picardie, Eddy subit les quolibets et la violence de ses camarades, de son père alcoolique et de sa mère revêche qui le trouvent trop efféminé. Lui-même finit par se poser la question de son homosexualité. Premier roman.
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Édifiant
J’ai été scotché par la lecture de ce livre. J’avais déjà lu deux livres d’Edouard Louis qui m’ont donné envie de lire les autres. C’est violent, ça me rappelle pas mal de choses…
Térence COLLARD SANCHEZ - Le 21 novembre 2022 à 23:20 -
Sanae EL HACHIMI EL IDRISSI - Le 14 novembre 2021 à 17:44
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En finir avec Eddy Bellegueule
Violence d'un coup de poing d'un transfuge familial
ch F - Le 30 octobre 2021 à 18:29 -
Pour en finir avec Eddy Bellegueule
J'ai d'abord été surprise par le style d'écriture que je n'ai pas apprécié, influencée sans doute par ce que j'avais lu auparavant de l'auteur et m'attendant à qqch de plus brillant. Cependant cette perception à vite disparue au profit, non pas du récit, mais de l'aspect " documentaire" de ce livre, tant sur le vécu de l'homosexualité dans un milieu qui lui est hostile, que par la description de ce contexte de la vie d'ouvriers pauvres du nord de la France. Je me suis attachée au personnage principal, qui est l'auteur lui même et j'ai apprécié d'y trouver aussi, derrière ce que l'on pourrait imaginer comme un règlement de comptes, le reconnaissance de l'affection que ses parents lui ont porté malgré leurs comportements frustres ( je me souviens d'un article à l'époque de la parution du livre qui parlait de la réaction de sa mère qui se sentait jugée et dénigrée). Ce qui me fait dire que l'auteur s'est attaché a décrire et à comprendre et je n'ai pu que compatir devant ces vies difficiles, victimes de l'inégalité et de l'injustice sociale, mais aussi d'une transmission culturelle de la pauvreté.
Béatrice GAROSCIO - Le 22 août 2016 à 00:20 -
bouleversant
dérangeant parfois, troublant. on pense à "strip tease"...
Emmanuelle H - Le 03 avril 2016 à 02:29