Musique


Couturier-Celea ; The game


François Couturier (1950-....) - Jean-Paul Celea (1951-.... )

Edité par éditeur JMS - paru en 1995


Pipo. Moderato cantabile. Mont d'or. Ad pandemonium. Sing me softly of the blues. Jungle de pierre. La clé des chants. Souffrir à tout prix. Tempo di cane. Trans-europ-express. Verseau. Tahiti. Klavinet stuck.



Exemplaire(s) disponible(s) dans le réseau

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

BD - 1993 - La bande dessinée : un exposé pour comprendre, un essai pour réfléchir

Disponible à 75005 - Mohammed Arkoun

Adulte | Bande dessinée adulte | BD ETUDE SUR | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Black Moon | François Couturier (1950-....)
Musique

Black Moon

François Couturier (1950-....) - Blue Silver - 1991

Black moon. Chinatown. O lé lé. Minimal compact. Mafate. Van Halen. Translator.

Passagio | Jean-Paul Celea (1951-.... )
Musique

Passagio

Jean-Paul Celea (1951-.... ) - Distrib. Media 7 - 1989

Cumparsita. Passaggio : Prince ; Lettera amorosa. Lena. Solaris : Couloirs ; Solaris ; Deb...

World view | Jean-Paul Celea (1951-.... )
Musique

World view

Jean-Paul Celea (1951-.... ) - Label Bleu - 1996

Acid birds. Nadir. Witches groove. World view : the village, the jungle, the city, the des...

Yes Ornette ! | Jean-Paul Celea (1951-.... ). Musicien. Contrebasse
Musique

Yes Ornette !

Jean-Paul Celea (1951-.... ). Musicien. Contrebasse - Outhere music France - [DL 2014]

Musicien virtuose, enseignant la contrebasse classique au Conservatoire National Supérieur...

Poros | Dominique Pifarely (1957-....)
Musique

Poros

Dominique Pifarely (1957-....) - ECM - 1998

Trois images. Poros. Labyrintus. La nuit ravie. Retours. Warm Canto. Vertigo. Images 4, 2,...

Music for a while | François Couturier (1950-....). Piano
Musique

Music for a while

François Couturier (1950-....). Piano - Emouvance - P2002

Tarkovsky quartet | François Couturier (1950-....). Piano
Musique

Tarkovsky quartet

François Couturier (1950-....). Piano - Universal - 2011

Le groupe singulier fondé par le pianiste François Couturier continue de puiser son inspir...

Un jour si blanc | François Couturier (1950-....). Compositeur
Musique

Un jour si blanc

François Couturier (1950-....). Compositeur - ECM Records GmbH - 2010

Pianisphères | François Couturier (1950-....). Compositeur. Piano
Musique

Pianisphères

François Couturier (1950-....). Compositeur. Piano - [Becabel Charlotte records] - P1993

En savoir plus

Biographie

Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da VinciIt-Leonardo di ser Piero da Vinci.ogg, dit Leonardo da Vinci), né le 14 4 1452 du calendrier actuel {{Incise|le {{Date|15|avril|1452}}, date de l'époque}} à Vinci (Toscane) et mort le 2 mai 1519 à Amboise (Touraine), est un peintre polymathe toscan, simultanément artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, peintre, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, philosophe et écrivain. Enfant naturel d'une paysanne, Caterina di Meo Lippi, et d'un notaire, Pierre de Vinci, il est élevé auprès de ses grands-parents paternels dans la maison familiale de Vinci jusqu’à l’âge de dix ans. À Florence, son père l'inscrit pour deux ans d’apprentissage dans une {{Langue|it|scuola d’abaco}} et ensuite à l'atelier d'Andrea del Verrocchio où il côtoie Botticelli, Le Pérugin et Domenico Ghirlandaio. Il quitte l’atelier en 1482 et se présente principalement comme ingénieur au duc de Milan Ludovic Sforza. Introduit à la cour, il obtient quelques commandes de peinture et ouvre un atelier. Il étudie les mathématiques et le corps humain. Il rencontre également Gian Giacomo Caprotti, dit Salai, un enfant de dix ans, turbulent élève de son atelier, qu’il prend sous son aile. En septembre 1499, Léonard part à Mantoue, à Venise et retourne à Florence. Il y repeint et s'adonne à l’architecture ainsi qu'à l'ingénierie militaire. Pendant un an, il confectionne des cartes géographiques pour César Borgia. En 1503, la ville de Florence lui commande une fresque, mais il en est déchargé par le roi de France Louis XII qui l'appelle à Milan où, de 1506 à 1511, il est « peintre et ingénieur ordinaire » du souverain. Il rencontre Francesco Melzi, son élève, ami et exécuteur testamentaire. En 1504, son père meurt, mais il est exclu du testament. En 1507, il est usufruitier des terres de son oncle décédé. En 1514, après une retraite à Vaprio d'Adda, Léonard travaille à Rome pour Julien de Médicis, frère de Léon X, et y délaisse la peinture pour les sciences et un projet d’assèchement des marais pontins. En 1516, François Ier l'invite en France au manoir du Cloux avec Francesco Melzi et Salai. Il y emmène notamment La Joconde probablement terminée sur place et qui a traversé les siècles comme une des œuvres picturales les plus célèbres au monde, si ce n'est la plus célèbre. Léonard meurt subitement au Clos Lucé en 1519. Son ami Francesco Melzi hérite de ses notes et de ses dessins. Salai hérite des peintures du maître et partage avec un serviteur les vignes que Léonard a reçues de Ludovic Sforza. Léonard de Vinci fait partie des artistes de son époque dit « polymathes » : il maîtrise plusieurs disciplines comme la sculpture, le dessin, la musique et la peinture qu'il place au sommet des arts. Léonard se lance dans une minutieuse étude de la nature et de l'expression humaine : une image doit représenter la personne, mais aussi les intentions de son esprit. Il fournit sur ses tableaux un minutieux travail de retouches et de corrections à l'aide de techniques propres à la peinture à l'huile, d'où l'existence de tableaux inachevés et ses échecs dans la peinture de fresques. Ses études sont reprises dans les innombrables dessins de ses carnets : dessiner est, pour cet inlassable graphomane, un véritable moyen de réflexion. Il consigne ses observations, ses plans et ses caricatures qu'il utilise au besoin d'un travail d'ingénierie ou pour la confection d'un tableau. Si Léonard de Vinci est surtout connu pour sa peinture, il se définit aussi comme ingénieur, architecte et scientifique. Les connaissances initialement utiles à la peinture deviennent pour lui une fin en soi. Ses centres d'intérêt sont très nombreux : optique, géologie, botanique, hydrodynamique, architecture, astronomie, acoustique, physiologie et anatomie. Il n'a toutefois ni l'éducation ni les méthodes de recherche d'un scientifique. Pourtant, son absence de formation universitaire le libère de l'académisme de son temps : se revendiquant un « homme sans lettres », il prône la praxis et l'analogie. Cependant, avec l'aide de quelques hommes de science, il se lance dans la rédaction de traités scientifiques, plus didactiques et structurés et souvent accompagnés de dessins explicatifs. Sa recherche de l'automatisme s'oppose à la notion du travail en tant que ciment des relations sociales. Léonard de Vinci est souvent décrit comme le symbole de l'esprit universel de la Renaissance, l’{{Langue|it|uomo universale}} ou un génie scientifique. Mais il semble que Léonard lui-même exalte son art afin de gagner la confiance de ses commanditaires et la liberté d'effectuer ses recherches. De plus, les biographes du XVI écrivent des récits fort dithyrambiques de la vie du maître alors principalement connu pour ses peintures. Seules la transcription du Codex Atlanticus et la découverte de plus de 6000 feuillets de ses notes et traités à la fin du XVIII mettent en valeur les recherches de Léonard. Les historiens des {{s2|XIX|XX}} perçoivent alors en lui une sorte de génie ou de prophète de l'ingénierie. Au XXI, cette image reste encore très présente dans l'imaginaire populaire. Pourtant les années 1980 voient des historiens remettre en cause l'originalité et la validité de la plupart des recherches du maître. Ceci étant, la grande qualité de son art graphique, tant scientifique que pictural, reste encore incontestée par les plus grands historiens ou critiques d'art et de nombreux livres, films, musées et expositions lui sont consacrés.niveau=3