Livre


Les canards sauvages


Adèle Jolivard. Auteur

Edité par Editions les Fourmis rouges - paru en 2022


Les canards sauvages vivent ensemble dans un arbre creux, confortablement aménagé, un peu à l'écart de la ville. Ils préparent une grande fête à laquelle ils ont invité tous leurs amis. ©Electre 2023




Type de document
Livre
Titre
Les canards sauvages
Auteur
Adèle Jolivard. Auteur
Langue
français
Edité par
Editions les Fourmis rouges
Paru en
2022

Format
| 1 vol. (30 p.) ; illustrations en couleur ; 33 x 25 cm
Public visé
Jeunesse
Note
  • A partir de 4 ans
ISBN
978-2-36902-149-0
EAN
9782369021490
Exemplaire(s) disponible(s) dans le réseau

Plus d'infos

Se procurer le document

Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.

Musique - 1991 - Carmen

Disponible à 75015 - Andrée Chedid

Discothèque | CD adulte | OPERA 3.BIZ 35 | En rayon

Suggestions

Du même auteur

Un petit jeu de piste | Adèle Jolivard. Auteur
Livre

Un petit jeu de piste

Adèle Jolivard. Auteur - les Fourmis rouges - DL 2019

Un matin, M. Rat et son voisin M. Lion décident de partir à la rencontre des autres animau...

Confettis | Adèle Jolivard. Auteur
Coup de ♥ des bibliothécaires
Livre

Confettis

Adèle Jolivard. Auteur - les Fourmis rouges - DL 2021

Une petite fille relate son quotidien qui s'étend sur une année scolaire, avec son lot de ...

En savoir plus

Biographie

Lucien Ginsburg, dit Serge Gainsbourg, né le 2 avril 1928 à Paris (4e arrondissement) et mort le 2 mars 1991 dans la même ville (7e arrondissement), est un auteur-compositeur-interprète français, artiste peintre, scénariste, réalisateur, metteur en scène, écrivain, acteur et cinéaste. Il accède à la notoriété en tant qu'auteur-compositeur-interprète, abordant de nombreux styles musicaux. Il s'essaie également au cinéma et à la littérature, réalise plusieurs films et vidéo-clips et compose plus de quarante musiques de films. Au milieu des années 1950, il utilise les pseudonymes « Julien Gris », puis « Julien Grix » avant de choisir Serge Gainsbourg comme nom de scène. Dans les années 1980, il s'invente aussi un alter ego appelé « Gainsbarre ». Ses débuts sur scène sont difficiles en raison de son physique. Toute sa vie, Serge Gainsbourg souffre de la peur d'être rejeté et de sa conviction qu'il est laid. Au fil des années, il se crée une image de poète maudit et provocateur, mais pas pour autant en marge du système. Les textes de ses chansons jouent souvent sur le double sens et illustrent son goût pour la provocation (Nazi Rock, Aux armes et cætera, Lemon Incest) et l'érotisme (Les Sucettes, Je t'aime… moi non plus, Love on the Beat), voire la scatologie (Vu de l'extérieur, La poupée qui fait, Des vents des pets des poums, Evguénie Sokolov), ce qui lui vaut nombre de polémiques. Serge Gainsbourg aime également jouer avec les références littéraires, comme Verlaine (Je suis venu te dire que je m'en vais) et, dans une certaine mesure, « recycler » des thèmes de musique classique (Initials B.B., Lemon Incest). Cependant, il considère la chanson et plus particulièrement les paroles, comme un « art mineur », puisque ne nécessitant, contrairement à la peinture par exemple, aucune initiation pour être apprécié. Il travaille, parfois jusqu'à l'obsession, la forme poétique de ses textes, les parsemant de rimes sophistiquées, de jeux de mots, d'allitérations et autres figures de style peu communes dans la musique populaire à son époque. Auteur prolifique de chansons pour d'autres artistes, en particulier des femmes, Gainsbourg traverse la vie de chanteuses et actrices renommées, dont Brigitte Bardot, avec laquelle il a une brève liaison, ainsi que Jane Birkin, avec qui il va vivre pendant plus de douze ans, qui est sa principale muse, même après leur séparation et qui donne naissance à son troisième enfant, Charlotte Gainsbourg. Il influence considérablement certains artistes français, comme le groupe Taxi Girl, Renaud ou Étienne Daho, ainsi que des artistes non francophones tels que Beck, Mike Patton, le groupe Portishead ou le compositeur David Holmes. Si sa notoriété à l'extérieur du monde francophone se limite aux professionnels de la musique, il réussit à classer deux de ses albums dans les meilleures ventes de disques aux États-Unis : d'une part Bonnie and Clyde avec Brigitte Bardot se classe 12e au Billboard 200 au cours de l'année 1968 et, d'autre part, Jane Birkin - Serge Gainsbourg se classe 196e au cours de l'année 1970. Sa chanson Je t'aime… moi non plus se classe 58e au Billboard Hot 100, malgré des diffusions à la radio limitées en raison de la censure, mais rencontre un plus grand succès encore au Royaume-Uni où elle se classe numéro 1 des ventes. Avec celles de la chanteuse belge Sœur Sourire et les albums francophones de Céline Dion, ces performances sont inégalées pour des chansons en langue française aux États-Unis.