Livre


Contes indiens


Stéphane Mallarmé (1842-1898)

Edité par Ombres - paru en 1993



Collection : Petite bibliothèque Ombres



Type de document
Livre
Titre
Contes indiens
Auteur
Stéphane Mallarmé (1842-1898)
Contributeurs
Guénot, Claude
Langue
français
Edité par
Ombres
Paru en
1993

Format
| 91 p. ; 17 cm
Liens
  • Est publié avec : L'origine des contes indiens de Mallarmé / par Claude Guénot
Public visé
Adulte
Note
  • Bibliogr., 1 p
ISBN
2-905964-85-5
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En savoir plus

Biographie

Étienne Mallarmé, dit Stéphane Mallarmé, né le 18 mars 1842 à Paris et mort le 9 septembre 1898 à Valvins (commune de Vulaines-sur-Seine, Seine-et-Marne), est un poète français, également enseignant, traducteur et critique d'art. Admirateur de Théophile Gautier, de Charles Baudelaire et de Théodore de Banville, Stéphane Mallarmé fait paraître en revue quelques poèmes en 1862. Professeur d'anglais par nécessité, il est nommé en septembre 1863 au lycée de Tournon-sur-Rhône en Ardèche et séjourne à Besançon et Avignon, avant d'arriver à Paris en 1871. Il fréquente alors des auteurs comme Paul Verlaine, Émile Zola ou Auguste de Villiers de l'Isle-Adam et des artistes comme Édouard Manet, qui a peint son portrait en 1876. S'il rencontre des difficultés dans son métier de professeur (il est chahuté par ses élèves), il mène une vie familiale paisible, ponctuée de difficultés financières et de deuils, en particulier la mort de son fils Anatole en 1879 à l'âge de 8 ans. Il écrit des poèmes très élaborés et reçoit ses amis créateurs lors des Mardis de la rue de Rome ou dans sa maison de campagne, à Valvins, près de Fontainebleau, où il meurt le 9 septembre 1898 à 56 ans. Attiré par l'esthétique de L'art pour l'art, il collabore au Parnasse contemporain dès 1866, cherchant à dépasser son sentiment d'impuissance lié à un état dépressif, il est dès lors en quête d'une beauté pure que seul peut créer l'art : « le monde est fait pour aboutir à un beau livre », affirme-t-il. Il entreprend des œuvres ambitieuses, sur lesquelles il travaillera longtemps, comme Hérodiade (1864-1887) ou L'Après-midi d'un faune (1865-1876, dont Claude Debussy tirera une de ses œuvres symphoniques les plus célèbres en 1892-1894). Admirateur d'Edgar Poe, il publie en 1875 une traduction du Corbeau (1845), accompagnée d'illustrations d'Édouard Manet, et écrit le Tombeau d'Edgar Poe en 1876 (« Tel qu’en Lui-même enfin l’éternité le change… »). Toujours en prose, il traduit d'autres poèmes de Poe. En 1887, il fait paraître une édition de ses Poésies qui montrent sa recherche stylistique, comme dans le Sonnet en X, « Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx », ou le sonnet en octosyllabes Une dentelle s'abolit (« Une dentelle s'abolit / Dans le doute du Jeu suprême / À n'entrouvrir comme un blasphème / Qu'absence éternelle de lit »). Son ambition d'écrire un poème absolu trouve son aboutissement dans un poème graphique de 1897, Un coup de dés jamais n'abolira le hasard, qui est jugé hermétique dès sa parution. Le reproche d'hermétisme restera attaché à l'art mallarméen. La renommée de Stéphane Mallarmé se consolide encore à partir de 1884, quand Paul Verlaine l'inscrit dans sa série des Poètes maudits. Porteur de modernité et proche des avant-gardes en art comme en littérature, il est reconnu comme un maître par les poètes de la jeune génération, qui va d'Henri de Régnier et des symbolistes à Paul Valéry. Mallarmé se révèle avoir été l'instigateur, dans la seconde moitié du XIXe siècle, d'un renouveau de la poésie dont l'influence se mesure encore sur des poètes d'aujourd'hui comme Yves Bonnefoy. Ayant joué un rôle prépondérant dans l'éclosion de la modernité poétique, il est considéré comme l'un des plus grands poètes de langue française.