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Musique
Tuff times never last
Edité par Bigwax Distribution - paru en P 2025
Prévu pour le 11 juillet via Brownswood Recordings, "Tuff Times Never Last" est un recueil de chansons pleines d'entrain et vibrantes, un rappel optimiste de l'importance de s'accrocher et d'accepter les nombreuses dualités de la vie. Au fil de ces 11 chansons, l'album explore la solidarité, la communauté, la sensualité, l'enfance, la perte et surtout la persévérance. L'illustration qui accompagne l'album a été réalisée par Luci Pina, l'illustratrice de renom dont le travail a été sollicité et commandé par des artistes comme The Cut, Soho House, DICE, Apple Music et It's Nice That. L'image contient l'ode de Kokoroko à Londres en été. Sheila Maurice-Grey, co-leader du groupe, a déclaré à propos de la conception : " Le thème était l'été londonien, la famille et le sentiment d'être tous réunis dans un public de fidèles, et nous, les musiciens. " L'imagerie et les couleurs de l'oeuvre s'inspirent de sentiments d'innocence et de nostalgie, de l'entrée dans l'âge adulte à Londres et de ces rares nuits d'été où tout semblait porteur d'espoir. Le paysage urbain rend également hommage au film " Crookyln " de Spike Lee (1994) et à l'opus " The Wood " de Rick Famuyiwa (1999). Le groupe a vu dans ces films des représentations réconfortantes de la famille noire, de la communauté et de la résilience, qui ont été un baume pour eux en tant que Londoniens. Trois ans après leur premier album " Could We Be More ", qui a atteint la 30ème place du classement des albums britanniques et a été salué par la presse internationale " Tuff Times NeverLast " voit le groupe londonien élargir avec insouciance sa palette et ses influences. Si le jazz afrobeat de leurs précédents albums reste au coeur de la conception sonore du disque, le nouvel album s'inspire largement du R&B britannique des années 80, de la néo-soul, du disco ouest-africain, de la bossa nova, du lovers rock et du funk. S'inspirant de LooseEnds, Don Blackman, Common, Sly & Robbie, William Onyeabor, Patrice Rushen, Ofori Amponsah et Cymande, le septuor, au son instinctif, préserve l'essence même de Kokoroko, véritables maîtres du jazz.